En matière de lutte contre les émissions de CO2, le transport aérien fait figure de passager clandestin. Contrairement à une grande partie de l’industrie, et à l’automobile en particulier, il n’est soumis à aucune réglementation internationale, libre comme l’air d’émettre du CO2 comme bon lui semble. Certes, le transport aérien, représentant 2 % des émissions mondiales, n’est pas le principal contributeur au réchauffement de la planète. Mais avec une croissance du trafic mondial de 4 à 5 % par an, sa part p
Source : [Analyse] Contre le CO2, l’aérien devra rompre avec ses habitudes – L’Usine Aéro