Airbus annonce mercredi 4 décembre la suppression d’un peu plus de 2000 postes en Europe, moins que les 2500 postes prévus en octobre dernier. L’Allemagne paye le plus lourd tribut avec près de 700 postes supprimés. La France, elle, perdra 424 postes à Toulouse et 116 à Elancourt.
Le couperet est tombé. Et pour les salariés d’Airbus Defence and Space, les suppressions de postes seront sensiblement moins importantes que prévu. Le groupe aéronautique ne prévoit plus «que» la suppression de 2043 postes, contre 2500 envisagés en octobre dernier, soit tout de même 5% du total des effectifs (35000 salariés). Il s’agit de «réduire la base de coûts fixes», justifie l’avionneur dans un communiqué de presse diffusé à l’issue d’un comité européen qui s’est tenu le 4 décembre.
Pour en savoir plus : Airbus va supprimer 540 postes en France dans ses activités spatiales et militaires