Connu aussi sous le nom de Binder Jetting, le jet de liant est un procédé d’impression 3D dont les capacités de rendement, de flexibilité matériaux, mais aussi à pouvoir traiter des pièces de grandes dimensions, participent à débloquer certains des verrous clefs pointés du doigt par l’industrie concernant la fabrication additive. Sa plus grande simplicité d’utilisation comparée aux procédés à fusion laser sur lit de poudre, mais aussi son haut niveau de détail, en font également une technologie d’avenir pour de nombreux secteurs.
Sur ce créneau largement dominé par les américains Desktop Metal et Markforged sur le segment métal, notamment depuis le passage d’Exone (Allemagne) et Digital Metal (Suède) sous leurs pavillons étoilés, un nouvel acteur à l’accent français entend venir jouer les troubles fêtes.
Un challenger né à Toulouse et répondant au nom d’AddiMetal, dont l’ambition est de bousculer le marché avec une solution plus performante et abordable. Curieux d’en savoir plus sur cette nouvelle technologie additive Made in France, PRIMANTE3D a interviewé l’un de ses protagonistes, Frank Liguori.
Pour en savoir plus : Addimetal : un français débarque sur l’impression 3D métal à jet de liant