« Avant ChatGPT, moins de 1 % des Français travaillaient avec de l’intelligence artificielle. Les dernières études montrent que 50 % des salariés français ont au moins essayé une fois l’IA, et c’est très largement à l’initiative des employés », fait remarquer Yann Ferguson, directeur scientifique du LaboIA (laboratoire créé par le ministère du Travail pour appréhender les effets de l’intelligence artificielle) lors de l’événement Future Intelligence en décembre à Toulouse.