Si l’impression 3D fait valoir de sérieux atouts pour répondre aux défis environnementaux, que ce soit en termes d’économies d’énergie induites par l’allègement des pièces, de réduction de transport et de consommation de matériaux, cette technologie n’est pas sans impact sur notre environnement. De l’extraction des matières premières aux difficultés de recyclage de ses produits, l’industrie de la fabrication additive a encore de nombreux défis à relever si elle veut s’imposer comme une méthode de fabrication durable.
Ce défi implique notamment le fait d’identifier plus précisément et de manière mieux chiffrée ses impacts environnementaux tout au long de la chaîne de valeur. Alors que peu de données sont disponibles, le fabricant français Kimya s’est dernièrement distingué en révélant des chiffres très intéressants sur ses filaments.
Pour en savoir plus : Analyse de Cycle de Vie : Kimya publie les résultats de ses filaments d’impression 3D PETG