Aux récriminations des financiers, il présente des arguments d’industriel. Alors que le fonds activiste britannique TCI mène une campagne médiatique pour s’opposer au rachat de Zodiac par Safran jugé trop élevé, Philipe Petitcolin, le patron du motoriste aéronautique, a profité de la présentation des résultats financiers de son groupe pour défendre son projet d’acquisition, annoncé le 19 janvier. Au-delà des critiques avancées par TCI – qui possède 4% du capital de Safran –, la capacité de Safran à redresser un équipementier englué depuis plusieurs années à des problèmes de qualité de ses produits et de retards de livraisons se pose.
Source : Comment le patron de Safran compte redresser Zodiac