Parmi les tâches de post-traitement qui ont souvent été considérées comme des priorités modestes par les équipementiers, il y a le dépoudrage. Le fait est que l’on a toujours accordé beaucoup d’attention au dépoudrage des pièces métalliques imprimées en 3D, laissant les industries verticales adopter la fabrication additive (FA) avec peu d’informations sur la manière de gérer correctement ce processus avec les pièces plastiques imprimées en 3D. L’article ci-dessous a l’ambition de changer cela en discutant de 4 considérations clés à prendre en compte pour cette tâche spécifique de post-traitement. Pour ce faire, nous avons donné la parole à Andreas Hartman, fondateur et CEO de Solukon, et à Philipp Kramer, CTO et cofondateur de DyeMansion.
Ce n’est un secret pour personne que les pièces imprimées en 3D qui sortent directement de l’imprimante 3D peuvent déjà être utilisées. Toutefois, pour que ces pièces puissent apporter une valeur ajoutée et atteindre les performances souhaitées, d’autres étapes de post-traitement doivent être entreprises. Pour Andreas Hartman, fondateur et CEO de Solukon, ces étapes de post-traitement peuvent « être divisées en quatre catégories : déballage, nettoyage (= dépoussiérage / élimination de la poudre résiduelle collée (frittée) sur la surface de la pièce), finition de la surface (lissage chimique ou mécanique, polissage, sablage, infiltration ou fraisage, [revêtement et peinture par pulvérisation]) et coloration/teinture ».
Pour en savoir plus : Considérations clés à prendre en compte pour le dépoudrage des pièces plastiques imprimées en 3D