Airbus a signé un accord avec des acteurs suédois et norvégiens pour étudier la mise en œuvre de l’hydrogène dans une cinquantaine d’aéroports. L’avionneur multiplie ce type d’initiatives pour favoriser l’exploitation de son futur avion à hydrogène, qui doit entrer en service en 2035.
Pas à pas, Airbus tisse sa toile, qui s’étoffe à vue d’œil. Tout à sa volonté de mettre en branle un réseau d’aéroports capables d’approvisionner en hydrogène son futur appareil annoncé en 2020, l’avionneur européen a dégainé un nouveau partenariat de poids. A savoir : un accord signé avec des acteurs norvégiens et suédois visant à étudier la possible mise en place d’infrastructures ad hoc, et ce dans un périmètre inédit par sa taille de plus de cinquante aéroports. Airbus cherche ainsi à donner toutes les chances au déploiement, dès 2035, de son futur avion à hydrogène, avec désormais 63 aéroports participant à la démarche de l’industriel.
Pour en savoir plus : En Scandinavie, Airbus étend son réseau d’aéroports pro hydrogène