En plein essor depuis 2015, le marché de l’impression 3D métal connaît une croissance soutenue caractérisée par des machines de plus en plus performantes et un choix de matériaux toujours plus vaste. Nombreux sont les secteurs comme l’automobile, l’aérospatial, et le médical à aujourd’hui tirer parti des avantages de cette technologie pour créer des pièces métalliques complexes souvent impossibles à obtenir avec les techniques traditionnelles, mais aussi gagner en agilité et coût de fabrication. Parmi les nombreux procédés que compte la fabrication additive métallique, nous allons aujourd’hui nous intéresser à la fusion sur lit de poudre (PBF) et au dépôt d’énergie dirigée (DED). Deux grandes familles dont AddUp – joint-venture de Fives et Michelin – s’est faite une spécialité. Pour en savoir plus sur les spécificités et capacités de chacune, Primante3D a interrogé son CTO Sébastien Devroe.
« Les deux technologies utilisent de la poudre métallique et un faisceau laser. La principale différence est au niveau de la déposition de la poudre… »
Pour en savoir plus : Fabrication additive métallique : analyse des forces et des faiblesses des procédés PBF et DED en 10 questions