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Avec des armes toujours plus puissantes et des menaces en constante évolution, la protection balistique du combattant doit être renforcée sans pour autant entraver ses mouvements et sa mobilité. D’où la quête de matériaux devant posséder deux qualités a priori antagonistes, à savoir la résistance et la légèreté.

Ces dernières années, plusieurs voies ont été explorées à cette fin. Des recherches ont porté sur la soie d’araignée, plus résistante que le kevlar. Des études sur la structure de la nacre ont été menées afin de concevoir une matière plastique quatorze fois plus résistante et huit fois plus légère que l’acier. Offrant une grande capacité d’absorption des chocs, les matériaux dits architecturés font actuellement l’objet d’un projet lancé par la Section technique de l’armée de Terre [STAT].

Pour en savoir plus : Le ministère des Armées finance des recherches sur des protections balistiques plus légères et performantes